Protoxyde d’azote : les autorités sanitaires mettent en garde contre l’usage détourné de ce « gaz hilarant »
Légal et facile d’accès, l’usage festif du « proto » se banalise chez les lycéens. Des professionnels de la santé mettent en garde contre les effets secondaires, à court et long terme.
Entrée du Parc Ladoucette Drancy
Il est désormais fréquent de voir de nombreuses cartouches métalliques joncher la voie publique, notamment devant des lieux où se tiennent des soirées étudiantes… Le protoxyde d’azote, plus communément appelé « gaz hilarant » ou « proto », est devenu un produit à la mode. Utilisé dans le champ médical pour ses propriétés anesthésiques et analgésiques, il est aussi employé comme gaz de pressurisation d’aérosol, en particulier alimentaire. Mais aujourd’hui, l’utilisation détournée de ces cartouches par les jeunes ne cesse d’augmenter. Le gaz est versé dans un ballon puis inhalé, pour un effet euphorisant.
Depuis le début de l’année, vingt-cinq signalements d’effets sanitaires ont été notifiés, dont dix cas d’atteintes neurologiques graves, huit dans la seule région des Hauts-de-France, indique la Direction générale de la santé (DGS), qui lance une alerte sur la consommation de ce produit. « Les éléments suffisent pour considérer qu’il s’agit d’un problème sanitaire », nous indique le professeur Jérôme Salomon, directeur général de la santé. Il s’agit par exemple de scléroses combinées de la moelle, dont certaines sont irréversibles. Un phénomène préoccupant pour les autorités sanitaires, car ces atteintes surviennent en cas de consommation massive, et/ou prolongée, voire quotidienne, de ce produit.
« L’ampleur de ce phénomène est très inquiétante, on assiste à une augmentation de l’usage non médical et à des complications sanitaires graves », estime la pharmacologue Caroline Victorri-Vigneau, responsable du centre d’addictovigilance de Nantes, qui pilote les données sur le protoxyde. D’autant que le nombre de cas de complications est sûrement plus important que le nombre de cas rapportés en raison des sous-notifications. Des cas de décès ont même été répertoriés, selon l’Association des centres d’addictovigilance.
La question restait le coté Parking Espace Culturel, car pour une personne ayant un handicape de mobilité, la distance de l’entrée qui peut aussi être la sortie est importante.
AU DÉBUT (sol en terre)
Mon Drancy a mesuré un premier chantier où le sol est devenu dur.
Février 2020 soit 448 jours soit 1 an, 2 mois et 21 jours après la municipalité entend les habitants !
APRÈS
La différence pour un valide n’est rien, mais ces centimètres vont rendre la vie agréable à tous. ( centimètres mesurables dans les photos avant / après par les 4,5 pavés à 7 pavés au sol, ou nombres de barres verticales vertes du portique ou l’espace pour les panneaux interdit (passage de 1 espace à 2))
La norme pour effectuer un virage de direction semble acquise.
Bravo aux Habitants… Qui ont insisté et qui paient les factures doubles…
LA LISTE ET SA CANDIDATE UDI – LREM NOUS DONNENT SON BILAN
Nous pouvons nous poser la question des photos et comment ont elles été prises ? pour exemple :
La Photo est bien du bien public payé par nos impôts « Drancy Media » … Pourquoi est il ainsi dupliqué pour un parti politique ? Toutes les photos posent donc questions ? Qu’en est il des comptes de compagne et de l’usage abusif de l’intérêt général ?
Dans le cadre d’une vision pleine quelques questions sur les écrits ?
Ce blog drancéen a été créé par et pour des drancéens énervés qui veulent que ça change à Drancy !
Remerciements à notre ami Christophe Grébert, qui a ouvert la voie du blog citoyen municipal et qui mène un combat courageux et démocratique à Puteaux depuis plusieurs années avec son blog www.monputeaux.com est celui qui nous a donné l'idée de ce blog énervé de Drancy.