1er temps Vendredi 10 mai 2019, la Maire interdit les bivouacs sur la place de l’hôtel de Ville de Drancy…
2 éme temps Samedi 11 mai 2019, la Maire interdit s’autorise les bivouacs sur la place de l’hôtel de Ville de Drancy… mais l’interdit aux citoyens…
Mais souvenez vous notre municipalité qui prône dans son article 3 de son arrêté « Les manifestations a caractère religieuse sont interdites sur l’espace public »
Mais la ville de Drancy s’autorise ce genre de banderole pleinement ciblé sur l’espace public…
Mais de mémoire de 2008, la municipalité UDI avoue et se félicite de son mensonge aux habitants. Y en a t il d’autres ?
Pendant ce temps, une femme enceinte est à la rue, ce matin un jeune a été conduit au urgence. Un enfant de 4 mois et sa mère font partie des 50 personnes à la rue.
Mais le plus inquiétant est que l’on refuse l’accès aux toilettes du centre administratif pendant les heures d’ouverture du centre administratif de la place de l’hôtel de Ville suite à l’arrêté de madame la Maire. Et d’autres personnes, dans le même temps, elles ont ce droit d’accès…
Le principe de dignité est de laisser l’accès à tous aux toilettes, à des douches, et un accès pour un temps déterminé de la nuit à un lieu abrité. (gymnase de 23 h à 6 heures)
Vous avez des vêtements chauds qui ne servent plus, déposer les à la place de l’hôtel de Ville de Drancy, ou plutôt Place « de la dignité respectée par les citoyens de Drancy »…
50 personnes sans abri, ont été délogé des anciens locaux SNCF.
Ces personnes sans domicile fixe (SDF) sont depuis jeudi à la rue, place de la Mairie de Drancy.
Un délégué du Préfet est passé constaté les faits vendredi 11 mai 2019.
La municipalité ne semble pas être concerné par ce qui ce passe.
Sans doute attend elle ces « gardes côtes ou sa police des frontières » ?
Madame LAGARDE, Monsieur Le Député, Monsieur le candidat, les habitants de Drancy n’acceptent aucunement le peu de dignité que transmet la Ville de Drancy à ses SDF.
Alors mesdames messieurs les élu(e)s, il serait bon d’appliquer juste la LOI !
Article L345-2-2 (code de l’action sociale)
« Toute personne sans abri en situation de détresse médicale, psychique et sociale a accès, à tout moment, à un dispositif d’hébergement d’urgence.
Cet hébergement d’urgence doit lui permettre, dans des conditions d’accueil conformes à la dignité de la personne humaine, de bénéficier de prestations assurant le gîte, le couvert et l’hygiène, »
Article L345-2-3 : « Toute personne accueillie dans une structure d’hébergement d’urgence doit pouvoir y bénéficier d’un accompagnement personnalisé et y demeurer, dès lors qu’elle le souhaite, jusqu’à ce qu’une orientation lui soit proposée. Cette orientation est effectuée vers une structure d’hébergement stable ou de soins, ou vers un logement, adaptés à sa situation. »
Loi de réquisition des logements vacants:
Article L641-1 (code de la construction) : « Sur proposition du service municipal du logement et après avis du maire, le représentant de l’Etat dans le département peut procéder, par voie de réquisition, pour une durée maximum d’un an renouvelable, à la prise de possession partielle ou totale des locaux à usage d’habitation vacants, inoccupés ou insuffisamment occupés, en vue de les attribuer aux personnes mentionnées à l’article L. 641-2. »
On a retrouvé la Maire de Drancy
Vendredi, au même moment des faits de la place de la Mairie, à 50 mètres, elle admire des statues et se voile des réalités de 2019…
Notez les tentes pour la pluie et le rien pour les personnes sur la place de la Mairie de Drancy…
Trêve hivernale : la police va expulser des migrants d’un squat à Drancy
Reportage dans un bâtiment désaffecté de SNCF Mobilités, d’où 77 migrants et migrantes sont sur le point de se faire expulser. Une décision « disproportionnée », selon les avocats des occupants [1/2].
Jeudi 22 novembre, Drancy (Seine-Saint-Denis). Mamadou Camata, Ivoirien de 30 ans, m’accueille dans son squat. Avec plusieurs autres migrants, en situation régulière ou irrégulière, originaires de Côte d’Ivoire et du Burkina Faso, il a élu domicile dans cet immeuble désaffecté appartenant à SNCF Mobilités. Souriant malgré l’expulsion prévue pour la fin du mois, il tient une comptabilité des entrées et sorties. « En ce moment, nous sommes 77. » Ce chiffre peut évoluer dans les jours à venir, notamment à la baisse si certains occupants préfèrent partir avant l’expulsion par les forces de l’ordre, rejoignant d’autres squats ou hébergements de fortune. « Nous ne savons pas où aller. Nous demandons simplement à passer l’hiver ici, mais le juge nous a refusé la trêve hivernale« , résume-t-il.
Pas de trêve hivernale ? Dans la cour, je pianote sur mon smartphone à la recherche d’une explication. Mes recherches Internet m’apprennent que les occupants sans droit ni titre entrés dans un lieu par effraction (les « squatteurs« , dans le langage courant) ne sont pas officiellement visés par le dispositif protecteur de la trêve hivernale (1er novembre – 31 mars). C’est ce que vient d’ailleurs rappeler noir sur blanc la loi ELAN (non-appliquée dans cette affaire car publiée le 24 novembre au Journal Officiel). Cette restriction est censée éviter que des locataires ou propriétaires d’un logement ne se retrouvent à la rue pendant la trêve hivernale, parce que des squatteurs entrés en leur absence ne seraient, précisément, pas expulsables en raison de la trêve.
Une expulsion « disproportionnée »
Mais dans le cas présent, il ne s’agit pas d’un logement mais d’un bâtiment désaffecté, habité depuis un an par les occupants actuels (et depuis plus longtemps par de précédents squatteurs, partis depuis). « Je ne comprends pas, c’est injuste. La SNCF n’a même aucun projet pour ce bâtiment, alors on ne dérange personne !« , se désespère Mamadou Camata. C’est ce que me confirmera ensuite Me William Mak, l’un des avocats en charge du dossier aux côtés de Laura Pasquier et Alexandre Koenig. « SNCF Mobilités, propriétaire et demanderesse dans cette affaire, n’a pu justifier d’aucun projet pour ce bâtiment. A nos yeux, cela rend l’expulsion en pleine trêve hivernale particulièrement disproportionnée, tout comme la grande vulnérabilité des migrants et migrantes concernés. » Parmi eux, des demandeurs d’asile.
J’entre. Je suis frappée par le caractère ordonné des lieux. Un homme se brosse les dents devant un lavabo installé dans une salle vide, inspectant sa mine matinale dans un petit miroir mural. Plus loin, un matelas deux places est redressé contre un mur, indiquant que l’heure n’est plus au repos. Et pour cause : la plupart des occupants s’activent, le jour, pour ramener quotidiennement quelques euros. « Ici, on s’entraide, on partage les courses« , m’explique S. (à droite sur la photo), désignant d’un geste le mafé qu’il savoure, assis sur un canapé aux côtés de deux « colocataires ».
Outre la nullité du vote du conseil municipal de Drancy sur le Budget 2017, l’article en photo est très révélateur.
Alors que Madame la Maire est Aude Lavail, C’est son mari qui exprime au nom de la Ville de Drancy le futur choix de la Majorité du conseil municipal.
Nous ne contestons pas qu’il exprime l’historique des faits, mais passer cet historique l’avenir est à Madame Aude Lagarde qui a les seules pouvoirs de représentation de la Ville de Drancy par son conseil municipal.
« On ne fera pas appel. » Mais qui est ce Député qui parle de « On » au nom de la Municipalité de Drancy, au Nom PRÉNOM de la Maire ????
« On va rajouter la dizaine de pages que le tribunal nous demande… » C’est donc Le Député qui va ordonner à l’administration de Drancy de rajouter les dizaines de pages pour le conseil…
Ainsi Que le tribunal « NOUS demande »…
Mais les tribunaux ne demandent qu’a l’humain qui représentent la Ville en justice.
Qu’ils demandent à annuler la décision de Jean Christophe Lagarde, est normale, mais le tribunal ordonne à Madame la Maire de faire revoter le Budget et de donner les dizaines de pages manquantes…
C’est cette délibération du conseil municipal qui le dit
Enfin nous avons donc un « porte parole » de la Maire qui tacle ses ennemies politiques, et pendant cela nous payons, payons, payons le prix de ce n’importe quoi à Drancy….
article 433-12 du code pénal : « Est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende le fait, par toute personne agissant sans titre, de s’immiscer dans l’exercice d’une fonction publique en accomplissant l’un des actes réservés au titulaire de cette fonction. »
Ce blog drancéen a été créé par et pour des drancéens énervés qui veulent que ça change à Drancy !
Remerciements à notre ami Christophe Grébert, qui a ouvert la voie du blog citoyen municipal et qui mène un combat courageux et démocratique à Puteaux depuis plusieurs années avec son blog www.monputeaux.com est celui qui nous a donné l'idée de ce blog énervé de Drancy.